Je te promet
Chapitre 2
La nuit était déjà fraîche, et Catherine grelotta terriblement quand une vague de vent vient. Elle n’avait que sa robe, elle n’avait pas pensée à s’amener un manteau parce que elle ne pensait pas quelle allait être partie pour si longtemps.
-Où qu’on va? Elle demanda, juste voulant retourner au confort de sa maison à ce point ici.
-Juste un peu plus loin. Viens. Cet homme commençait à la tanner, plus elle se sentait de plus en plus inconfortable.
- Je ne veux pas être ici. Est-ce que on peut s’en aller?
- Non, on est ici. Viens.
Il la traîna dans une ruelle mal éclairé ou il était entre deux immeubles. Soudainement, Antoine sortit de son manteau quelque chose qui brillait à la lueur de la lune. Un couteau.
Catherine cria, mais il porta sa main à sa bouche, camouflant le son. Les seul mot qui résonnais dans la tête à Catherine était : Comment pouvais je être si stupide ? Mais quand même, qui aurais pensé qu’un homme de même pourrais être un tueur ?
Antoine la tenait dans ses bras comme s’il allait la baiser, apport qu’il avait un couteau luisant dans sa main, il l’apporta proche de sa gorge, millimètres à la fois.
Ceci est ma fin, Catherine pensa, ses yeux plus gros que des sous et sa bouche grande ouvert, mais encore sous la main à Antoine.
Et là, le couteau touche son cou, laissant émerger juste une goutte de sang rouge.
-Où qu’on va? Elle demanda, juste voulant retourner au confort de sa maison à ce point ici.
-Juste un peu plus loin. Viens. Cet homme commençait à la tanner, plus elle se sentait de plus en plus inconfortable.
- Je ne veux pas être ici. Est-ce que on peut s’en aller?
- Non, on est ici. Viens.
Il la traîna dans une ruelle mal éclairé ou il était entre deux immeubles. Soudainement, Antoine sortit de son manteau quelque chose qui brillait à la lueur de la lune. Un couteau.
Catherine cria, mais il porta sa main à sa bouche, camouflant le son. Les seul mot qui résonnais dans la tête à Catherine était : Comment pouvais je être si stupide ? Mais quand même, qui aurais pensé qu’un homme de même pourrais être un tueur ?
Antoine la tenait dans ses bras comme s’il allait la baiser, apport qu’il avait un couteau luisant dans sa main, il l’apporta proche de sa gorge, millimètres à la fois.
Ceci est ma fin, Catherine pensa, ses yeux plus gros que des sous et sa bouche grande ouvert, mais encore sous la main à Antoine.
Et là, le couteau touche son cou, laissant émerger juste une goutte de sang rouge.
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Je souhaite que vous avez aimé ce chapitre. :)Commentaires sont apprécié. :) <3