Je m'appelle William Adams et j'ai été tué...

Peu à peu, des images, des souvenirs me revenaient à l'esprit et je compris alors que j'étais... mort...

Je revoyais clairement tout ce qui c'était passé et je commençais à le raconter aux personnes qui m'entouraient.

«Aujourd'hui, j'ai eu seize ans. Mes amis m'ont organisé une fête; nous sommes allés au cinéma. Quand la fête fini, il faisait noir. Tout le monde rentrait chez soi. Je marchais sur le troittoir. J'étais vraiment content, jusqu'à ce que j'entende un coup de feu... et un deuxième.

J'avais arrêté d'avancer et j'étais tombé par terre, Je savais que tout était fini. Il ne me restait qu'une ou deux minutes à vivre. Je n'avais pas peur de mourir, mais j'avais peur de souffrir. J'entendis des pas se rapprocher et quelqu'un se pencha vers moi. c'était mon assassin! Jamais je n'oublierais ses taris, son visage. j'ai vu mon sang couler par terre. Ce fut tout. Je n'avais pas souffert et je...»

Tou m'était revenu à l'esprit. Je parlais sans m'arrêter et quand je voulais voir la personne à qui je répondais, elle n'était plus là, personne d'autre d'ailleur. Je me sentais seul, mais ça ne me dérangeais pas. J'aimais me retrouver seul; ça me permet de penser et de réfléchir. j'en profitai pour observer les décors de la salle dans laquelle je me trouvais.

Au milieu de la pièce se tenait un grand piano à queue, de couleur brune, orné de fleurs sèches. La couleur des murs était dans les tons bruns et bourgognes. Une seule table était placée contre le mur. Celle-ci était de la même couleur que celle du piano et elle était entourée de quatre chaises. Une immense fenêtre s'étendait sur toute la surface du gand mur, On pouvait voir tout le paysage par la fenêtre. Plusieurs forêts s'étendaient sur des centaines de kilomètresm tout comme les plaines vertes arsemées de fleurs colorées et variées. Il n'y avait pas de soleil, et pourtant, il faisait clair. la salle aussi était bien éclairée; un lustre imposant était accroché au plafond. Aucunes toiles d'araignées ni aucun grain de poussière n'apparaissait.

Tout ce que je voyais était le contraire de ce que l'on raconte aux enfants dans les histoires. Ils disent que les pièces sont mal éclairées, lugubres, qu'elles sont sales, pleines de toiles d'araignées et de chauves-souris qui volent partout.

Après ma longue contemplation, j'ai remarqué qu'il y avait deux personnes dans la salle. Toutes deux me dévisageaient. Elles étaient assises sur deux des chaises qui se trouvaient en face de moi. Il avait un gaçon. Il paraissait de grande taille, même s'il était assis. Il était assez mince, mais pas trop. Ses cheveux bouclé de couleur châtain s'arrêtaient au niveau de sa nuque. Ses yeux étaient d'un vert perçant, tout comme ceux de la jolie fille qui se tenait à ses côtés. Par contre, ses cheveux à elle étaient plus pâles, mais eux aussi étaient bouclés. Ils s'arrêtaient au ba de son dos. Elle était assez petite, et elle avait une taille fine. Tous deux avaient l'air d'avoir à peu près mon âge. Le jeune garçopn écida de briser le long silence gênnt qui régnait dentre nous: «Quelqu'un souhaite te voir.» Ensuite, il me fit signe de le suivre. Il me conduit devant une grosse maison. Elle avait une allure imposante. Il y avait de grands escaliers devant la porte d'entrée.