Je m'appelle William Adams et j'ai été tué...

chapitre 3

Un vieux monsieur avait l'air de m'attendre en haut des escaliers. Il paraissait vieux. J'étais sûr de l'avoir déjà vu quelque part, mais je ne m'en souvenais plus. Il me fit un petit signe de tête et alors je compris qu'il voulait que je monte pour aller le rejoindre. Il ouvrit donc la porte et me laissa entrer. Il ne m'adressa même pas un seul regard. Il marchait devant moi, la tête haute. Il s'arrêta ensuite et brusquement, il ouvrit la porte qui menait à une grande salle avec au milieu, un grand fauteuil et une petite table devant. Les murs étaient cachés par d'immenses et nombreuses bibliothèques dans lesquelles il avait au moins des milliers de livre. Il entra dans la salle et prit place sur le fauteuil. D'une main, il tapota celui-ci. Je vins m'asseoir à côté de lui. Il y eu un long momentde silence, pendant lequel il me dévisageait de ses petits yeux noirs perçants. Son visage était ridé et de petits lunettes rondes étaient posées sur le bout de son nez crochu. Je détournai le regard et fis comme si je n'avais pas vu qu'il me regardait. Je regardais le plancher; il était couvert d'un grand tapis beige. Je balayais la pièce des yeux pour m'apercevoir qu'au plafond il y avait un immense lustre, encore plus beau que celui qui se trouvait dans le petit salon oú j'étais quelques minute plus tôt. Enfin, l'homme brisa le silence.

-C'est toi William? me demanda-t-il.

-Oui, c'est moi monsieur.

-Tu ne te souviens pas de moi, n'est-ce pas?

-Euh... non, pas vraiment monsieur.

-Non? C'est dommage. En tout cas, j'ai des choses à te dire. Tu n'as pas vraiment le choix.

Je commençais à m'inquiéter.

-Donc, tu t'es fait fusiller, continua-t-il. Une prophétie existe, sur le fait de tuer plus de dix personnes. Si un homme tue plus de dix personnes, la dernière qu'il aura tuée reviendra des morts pour ensuite venger tous ceux qu'il aura tué. Et, cette dernièere personne, c'est toi.

-Quoi? Je ne veux pas tuer... je ... ne... c'est... je n'ariivais plus à me contrôler. J'avais peur, je ne voulais pas devenir un assassin.

-C'est ton choix, mais penses-y bien. Tu à une chance de revivre ta vie, de la continuer telle que tu l'as laissée, mais pour ça, il faudra que tu le tue.

-Non... je ne veux pas...

- Vomme tu veux petit. Mais ouvre bien grand tes oreilles, je te l'ai dis plus tôt que tu n'as pa vraiment le choix... mais imagine revoir tes amis, tes parents, tout le monde que tu ...

-NON!!! VOUS M'ENTENDEZ!!! JAMAIS JE NE TUERAIS QUI QUE CE SOIT!!! je ne lui avait même pas laissé le temps de finir sa phrase. J'avais crié tellement fort que j'avais mal à la gorge. Il me regardait d'un air calem, comme si rien ne s'était passé.

-Penses-y et peut-être que tu changeras d'idée.

Sur ce, il me laissa seul dans la pièce. J'avais peur, je ne voulais pas tuer quelqu'un quelque soient les circonstances. Bien sur, je voulais revoir ma famille et mes amis mais je ne voualsi pas tuer, Je sortis à mon tour. Je ne savais que faire, que penser. Je trainais de pas. J'essayais de ne plus y penser, mais c'était trop dur.