Je m'appelle William Adams et j'ai été tué...

chpitre 6

Sans mot dire, nous nous dirigeâmes vers la porte qui menait à «l’autre monde», comme tout le monde le disait si bien. J’avais encore pleins de questions à lui poser, mais il avait l’air pressé. Je voulais savoir son nom… pourquoi m’avait-t-il demandé si je le reconnaissais?

«Vous avez deux mois, pas plus, pas moins. Dès que vous aurez franchi le seuil de cette porte, le décompte aura commencé. Si votre temps s’est écoulé, vous reviendrez automatiquement ici. Vous n’avez donc pas de temps à perdre. »

Il ouvrit la porte et je vis un vide. Du noir, voilà tout ce qu’il y avait de l’autre côté de la porte.
«Allez! Mais qu’attendez-vous? nous demanda-t-il. »

Sans nous donner aucun avertissement, il nous poussa dans le vide. Je tombais, tombais. Il n’y avait rien à l’horizon, ni lumière ni rien d’autre. C’était une sensation étrange, mais plutôt agréable. Même si j’étais mort, je sentais le vent sur mon visage. Mes cheveux volaient dans tous les sens. J’avais toujours voulu voler et maintenant je tombais dans un vide. Voila qui revient à la même chose, ou presque.

Nous étions donc en train de tomber dans un vide infini, quand je vis apparaître une petite lueur, très loin en-dessous de nous. Soudain le sol nous frappa violemment. Nous avions atterrit sur un plancher dur, juste derrière une porte semblable à celle qui se trouvait dans le bureau du vieil homme.

Ben ouvrit la porte et nous arrivâmes dans une grande forêt en pleine nuit. On pouvait apercevoir la lune à travers les feuilles. Ça faisait si longtemps que je ne l’avais pas vu. Comme elle était belle! Ben lui ne semblait pas la remarquer, il avait plus l’air impatient de continuer à avancer. C’est ce qu’il fit, il commença à marcher sans moi et je du le rattraper. Je couru après lui quand soudain il s’arrêta net. Son regard était droit devant lui et un sourire se dessina sur ses lèvres. Je regardai dans la direction dans laquelle il regardait et je vis un grand bâtiment qui se trouvait quand même assez loin de nous. Ensuite il dit : «C’était mon école quand j’étais encore vivant.» Je ne savais pas quoi dire. Puis, sans mot dire, nous continuâmes à marcher droit devant nous. Après avoir marché pendant ce qui me semblait des heures, nous arrivâmes en ville.
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Je sais que c'est court... et je suis vraiment désolée du retard... J'ai eu plusieurs empêchements et après j'avais oublier de continuer mon histoire...

Comme je le dis souvent : "Mieux vaut tard que jamais"...

S'il-vous-plaît... laissez des commentaires... parce que maintenant je suis bloquée et je ne suis plus vraiment sûre de la suite... dites-moi ce que vous en pensez...

Merci!! :D