Je te promet

Chapitre 11

-Qu’est-ce-qu’on va faire?, Catherine demanda, sa voix douce résonnant dans le silence de la chambre. Il s’était tout les deux habillés à nouveau et se tenait dans la salle à manger, essayant de penser à ce qu’ils allaient faire.

-Je ne suis pas sur. Par ce temps, mon patron, ou Paul, doit savoir que tu es encore envie. Il saura aussi que j’ai mentit, alors cela ne seras pas bon.

Catherine essaya de ne pas penser à ce que Paul ferait à Antoine s’il l’attrapait, mais ce fut impossible. Elle sentit des frissons dans son dos. Non, ce ne serais pas bon du tout. Mais, en plus, la jeune femme savait quelle ne pourrait pas vivre sans lui. Pas maintenant. Tout de suite, il était sa ligne de sauvetage.

Juste à ce moment, quelqu’un cogna à la porte d’entrée, faisant l’un et l’autre sauter dans les airs. Ils se regardèrent avec le même sens d’effroi dans leurs yeux. Il y avait juste une explication à qui pouvait être là; Antoine lui avait bien expliqué qu’il n’avait jamais de visite.

-Vite! Va te cacher! Antoine lui murmura avec empressement, commençant à marcher vers la porte lentement, laissant le temps à Catherine de se trouver une cachette. Celle-ci se mordit la langue en regardant autour d’elle vivement. Soudainement, ses yeux se collèrent sur une porte de garde-robe qu’Antoine n’avait jamais mentionnée.

Elle s’empressa d’aller se cacher dedans, et avant qu’elle ferme la porte elle vit que c’était la garde-robe où la domestique rangeait les affaires pour nettoyer. Ensuite, elle était dans le noir totale. Sa robe prit plus de place qu’elle aurait aimée, mais à ce point elle ne pouvait vraiment rien faire pour cela.

Catherine ne pouvait pas entendre grand-chose pour quelque instant, mais ensuite des pas entrèrent dans la chambre et la jeune femme retient son souffle. Elle voulait regarder dans le trou pour la clé, mais elle ne voulait pas bouger car elle savait quelle allait faire du bruit alors elle resta positionnée inconfortablement.

-Qu’est-ce-que je peux faire pour toi, Simon? Catherine soupira presque de soulagement quand elle entendit la voix à Antoine parler naturellement, même s’il y avait un peu de tension dedans.

-Paul m’a envoyé ici. Dit qu’apparemment tu n’avais pas de preuve que la putain était morte, et on sait que tu ramènes toujours quelque chose. Alors, où-est-elle? La voix qui parla n’était pas aimable, et Catherine la hait tout de suite. Elle savait aussitôt quelle n’aimait pas ce ‘Simon’.

-Peut-être je n’avais pas le temps. Tu ne sais jamais. Catherine pouvait entendre qu’Antoine essayait de garder son calme, mais tu pouvais déceler la colère dans sa voix.

-Regarde, Antoine. Je n’ai pas le temps pour ceci. J’ai des meilleures affaires à faire que de venir chercher toi et ta maudite blonde. Alors, je répète. Où est-elle?

Soudainement, ce n’était plus les voix d’hommes qui se faisaient entendre, non, c’était des coups, et quelqu’un tomber à terre avec pleins de jurements mêlés avec. Cela dura pour presque cinq minutes, mais ça dura une éternité pour Catherine. Attendre là, ne savant pas qui gagnais et si Antoine s’était fait mal mais finalement, les bruits arrêtèrent.

La porte de la garde-robe s’ouvrit, et Catherine sut en ce moment qu’elle allait mourir. Mais, ce n’était pas un coup de fusil ou la lame d’un couteau qui lui toucha, mais des bras qui l’entourèrent chaleureusement. La jeune fille regarda avec surprise la face à Antoine, son cœur commençant à battre à nouveau. Il était sauf, tout était bien. Il était plein de sang cependant, et cela inquiéta Catherine.

-Ne t’inquiète pas, Antoine lui dit gentiment dans son oreille, la plupart n’est pas le mien.

Ils restèrent là pendant un instant, juste fière d’être encore envie et ensemble. Mais, il fallait que ça ce termine.

-Viens, Catherine. Je vais mettre mes mains par-dessus tes yeux, je ne veux pas que tu vois.

La jeune fille était confuse pour un instant pendant qu’Antoine mettait ses mains sur ses yeux et l’entraîna en dehors de la garde-robe et la marchant lentement vers sa chambre –Catherine s’avait seulement ceci par les coins qu’ils tournèrent. Ce ne fut que quand Antoine enleva ses mains de les yeux à la jeune fille qu’elle comprit. Son beau ne voulait pas qu’elle voit Simon, et quand elle pensa à ceci elle n’était pas sur quelle voulait le voir.

-On doit partir. On doit aller loin d’ici. En Amérique. On sera en sécurité. On doit partir maintenant, amène tes affaires.

Catherine le regarda pour un moment, estomaqué. Amérique? Elle ne savait pas si elle voulait aller là-bas. Elle se mordit la lèvre, essayant de faire du sens des paroles à Antoine.

-Je t’aime, Catherine. Je t’aime plus que personne au monde. Je ne veux jamais, jamais te perdre. La seule manière d’être sur de cela est de recommencer. On a assez d’argent, on sera bien là-bas.

Antoine posa un baiser sur ses lèvres, et Catherine était plus sur que jamais que ceci était bel et bien l’homme le plus formidable au monde.

-D’accord, allons-y, mon amour.
♠ ♠ ♠
Bon, j'ai presque fini cette histoire. (:
Il reste juste un chapitre et ce sera l'épilogue.
<333