Je te promet

-Tu peux dormir ici, d’accord? Antoine lui demanda alors qu’ils se tenaient sur le seuil de la chambre que Catherine avait dormir dedans le soir d’avant. Catherine dit ‘oui’ de la tête avant d’entrer dans la chambre et déposer sa valise.
-Ma chambre est elle à côté, alors s’il y a quelque chose ne te gêne pas.

Catherine lui donna un petit sourire et Antoine lui donna un signe de la tête avant de fermer la porte.

La jeune femme soupira avant d’aller fermer le rideau de la fenêtre et se changer dans ses pyjamas. Elle alla ensuite se mettre dans le lit confortable, souhaitant que le sommeil allait succomber vite parce que elle n’était pas sur quelle voulait savoir ce que c’est penser retenait.

L’homme s’avançait vers elle, marchant très lentement comme pour faire la terreur vivre plus longtemps dans le cœur à Catherine. Elle voulait courir, se sauver de cet homme cruel, mais elle ne pouvait pas. C’était comme si c’est pied était coller sur le sol et quelle ne pouvait rien faire à part d’attendre d’être tué. L’homme était maintenant juste à côté d’elle, tenant un couteau extrêmement pointu dans sa main gauche. Il avait une cagoule sur sa tête, ne permettant pas à Catherine de voir sa face. Mais, juste comme il pressa le bout du couteau sur le cœur à Catherine, une rafale de vent vient et la cagoule de l’homme tomba. Il n’avait pas de face, c’était juste de la peau. Il n’avait ni yeux, ni nez, ni bouche. Avec cette image, Catherine laissa échapper un cri à glacer le sang.

La jeune femme se réveilla dans un saut, regardant autour de sa chambre frénétiquement. Juste à ce moment, la porte de sa chambre ouvrit, faisant Catherine sauter trois pied de haut et échapper un petit cri.

-Qu’est-ce qu’il y a? Antoine cria presque, regardant dans les quatre coins de la chambre pour faire sûr qu’il n’avait rien là.

-Juste un mauvais rêve, je suis désolée. Catherine lui répondit alors quelle était entrain de grelotter de peur même si elle savait que rien ici allait lui faire du mal.

La jeune femme entendit Antoine donner un petit soupir alors quelle cache sa face dans ses mains. Mais là, elle sentit le matelas changer, et se retourna pour voir Antoine ici à côté d’elle.

-Rendort toi, Catherine. Je ferais sûr que rien ne te fera du mal.

Avec cela dit, Catherine se recoucha avec Antoine à ses côtés, qui passait ses doigts dans les cheveux de la jeune femme. Ce n’est pas un mystère que Catherine s’endormit paisiblement et quelle n’eut pas d’autre cauchemar cette nuit là.